lundi 16 septembre 2013

Masse Critique also fait sa rentrée.

Masse critique
On pourrait croire qu'avec les 15 livres achetés hier ça me suffirai...
mais c'était sans compter une nouvelle tentation...

pour consulter la liste c'est ici
je note seulement ceux qui me font de l'oeil...

et vous, lesquels vous tentent ....?????
Les Peruzzi: dix-sept frères et soeurs, une tribu. Des paysans sans terre, tendance marxiste, à la tête dure et au sang chaud. Parce qu’un certain Benito Mussolini est un ami de la famille, ils abandonnent le rouge pour le noir. En 1932, avec trente mille autres affamés, ils émigrent dans les marais Pontins, au sud de Rome, où démarre le chantier le plus spectaculaire de la dictature. Huit ans sont nécessaires pour creuser un gigantesque canal, assécher sept cents kilomètres carrés de bourbiers infestés de moustiques et bâtir des villes nouvelles. Enfin, les Peruzzi deviennent propriétaires de leurs domaines. Mais tandis que l’histoire emporte les aînés dans le tourbillon des conquêtes coloniales et de la Seconde Guerre mondiale, au Canal, les abeilles d’Armida, l’ensorcelante femme de Pericle, prédisent un sombre avenir. Entre chronique et farce, Pennacchi signe un roman époustouflant où la saga d’une famille sur trois générations croise un demi-siècle de l’histoire italienne. 

« Je suis né à Varsovie et j’y ai vécu toute la guerre sous l’Occupation allemande y compris dans le ghetto. J’écris ces mémoires afin de laisser un témoignage pour la postérité. Certains épisodes dont je fus soit le témoin, soit l’acteur moi-même, pourraient être uniques et servir de source pour de futurs historiens. » -Abraham Apelkir, le père de Renia-Régine Apelkir-Frydman « Je vous livre ma mémoire comme elle me revient. Jusqu’à aujourd’hui, je n’avais rien raconté à personne… Je n’oublie pas ce que nous avons vécu. Je ne vis pas non plus tout le temps avec mes souvenirs. Mais toutes ces années difficiles me font apprécier mieux les choses. Je n’oublierai jamais les enfants du ghetto. Pourquoi suis-je ici aujourd’hui et pas eux ? » -Renia-Régine Apelkir-Frydman J’avais 7 ans en 1939 à Varsovie est le témoignage entrecroisé de Régine Frydman, Reina, et de son père, Abraham, deux survivants de ces années noires. Père et fille racontent leur quotidien marqué par l’horreur durant six années de guerre. L’émotion est au rendez-vous lorsqu’on apprend la descente aux enfers d’Abraham et de sa famille. Reina et Abraham nous révèlent, avec sobriété ce qu’ils ont enduré, les persécutions, les insultes, la faim, le froid dans la Pologne occupée par les nazis. Ils nous expliquent comment ils ont échappé à la déportation grâce à des amis polonais qui les ont hébergés au péril de leur vie.On découvre ainsi la vie de cette famille au quotidien, et leurs réactions face à l’horreur. Ce poignant récit laisse à l’esprit des images fortes. Il est d’autant plus précieux que peu de gens sont encore là pour en témoigner.Il existe très peu de témoignages publiés d’enfants du ghetto de Varsovie. Celui-ci est d’autant plus précieux qu’il croise le regard du père et de la fille sur cette période noire. C’est également un exemple de courage : le sang-froid et l’inventivité de ce père, Abraham, sauveront plusieurs membres de sa famille des griffes des nazis.


Juillet 1845. Paris. A l'aube, rue Mouffetard, une boule de feu dans laquelle se dessine, lacérée de flammèches vibrantes, une silhouette humaine. Elle se heurte aux murs des maisons. C'est un brasier qui court. Le réfugié polonais Adam Podhorecki lui tire une balle dans la tête pour mettre un terme à sa souffrance. On le soupçonne aussitôt, d'autant que la victime est un autre Polonais. Pour échapper à la prison, et pour vaincre les démons qui le hantent, Podhercki se lance sur la piste criminelle, bientôt jonchée d'autres cadavres, dans la communauté polonaise issue de la Grande Emigration de 1831. 
Tout porte à croire que Mickiewicz, le poète de la Nation, sera le prochain sur la liste. Qui donc agit dans l'ombre ? Towianski, le faux prophète ? Les espions de Moscou ? La secte des résurrectionnistes ? La police française ? Et que vient faire là-dedans le club des Haschichins ?



Ils avaient choisi d'habiter des îles de rêve, imaginé de splendides villas pour des vies insouciantes, ils collectionnaient les voitures de luxe et les grands crus français. Ils ne pensaient pas que le mal viendrait les chercher là. Rivés à leurs écrans comme à des mirages, ils n'avaient pas senti la mort à leurs trousses. Ils ont d'abord vu tomber leurs avatars, sans comprendre que c'en était fini des jeux de rôle. Lorsque le tueur est entré chez eux, dans la vie réelle, il était trop tard... 
Orange County, Californie. Michael Kapinsky a dû reprendre son travail de photographe pour la police scientifique. Sa femme est morte voici quelques mois, il est criblé de dettes. Sur l'ordinateur d'un homme qu'on vient d'exécuter de trois balles, il remarque un curieux logo. Celui d'un univers virtuel où l'on peut échapper à ses soucis, recommencer sous un autre nom, une nouvelle apparence, à tisser des liens. Lorsqu'il se laisse tenter et rejoint, à son tour, les îles idéales, Michael n'imagine pas le piège qui se referme sur lui. Car ce monde parallèle n'est qu'un miroir. On y retrouve jusqu'à ses pires cauchemars et lorsque l'enfer s'ouvre sous vos pieds, pas question d'y échapper...
Peter May, qui s'est fait détective sur Second Life pour écrire ce roman, nous prend au collet dans un vertigineux labyrinthe où nul n'est plus redoutable que celui que l'on croyait connaître.





2 commentaires:

  1. Réponses
    1. pas mal la liste une fois encore... j"espère que tu trouveras ton bonheur.
      bises MademoizelA

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